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SUR LA
SIGNIFICATION DE
MON ARTICLE DE LA JAUNE ET LA ROUGE D'OCTOBRE 2003
" Des régularités Extraordinaires et Irréfragables dans les Observations
Interférométriques de Dayton C. Miller, 1925-1926 "
AU REGARD DE LA GENESE ET DU
DEVELOPPEMENT DE LA
THEORIE DE LA RELATIVITE
par Maurice Allais 10 juin 2004 __________________________________________________________________
NOTA : Les notes peuvent être lues en cliquant sur leur
numéro. Le retour à l'article s'obtient de la même manière.
"Ce sont les
faits constatables qui ont seuls une réalité physique ".
Max Bom
La Théorie de la Relativité d'Einstein et
ses bases physiques, 1920
"C'est toujours le phénomène concret qui décide si une théorie doit être
acceptée ou repoussée.
Il n'y a pas, et il ne peut y avoir, d'autre
critérium de la vérité d'une théorie, que son accord plus
ou moins parfait avec les phénomènes
concrets".
Vilfredo Pareto
Manuel d'Economie Politique, 1909
"Tout ce que nous
connaissons de la réalité vient de l'expérience et aboutit à elle.
Des propositions purement logiques sont
complètement vides à l'égard de la réalité...
"Il résulte de là que
nos conceptions du réel physique ne peuvent jamais être définitives.
Si nous voulons être d'accord d'une
manière logique aussi parfaite que possible avec les faits
perceptibles, nous devons toujours être
prêts à modifier ces conceptions autrement dit le
fondement axiomatique de la physique. De
fait, un coup d'il sur l'évolution de la physique
nous permet de constater que ce fondement
a subi, au cours du temps, de profonds
changements"
Albert Einstein
Comment je vois le monde, 1930
LES POSTULATS SUR
LESQUELS REPOSE LA THEORIE DE LA RELATIVITE
Postulat 1
Les expériences interférométriques de Michelson et de ses
successeurs ont toujours donné
des résultats négatifs. (1)
Postulat 2
La vitesse de la lumière par rapport à la Terre est invariante quelle
que soit sa direction.
Postulat 3
II est impossible de déceler le mouvement de la Terre sur son orbite
par des expériences purement
terrestres.
En fait, les deuxième et troisième postulats
résultent du premier.
Au début du XXème siècle les expériences de Michelson qui
conduisaient à une estimation de la vitesse de la terre de 8 km/sec, au lieu de 30
km/sec, ont été considérées comme faussées par des effets pervers. L'hypothèse admise par tous à l'époque était que la terre se
déplaçait au sein d'un Ether immobile.
C'est ce qui avait amené Lorentz à adopter l'hypothèse de Fitzgerald
d'une contraction des corps avec leur vitesse et à formuler une expression de
transformation des coordonnées d'espace et de temps, transformation rendue rigoureuse par
Poincaré.
Sous cette même hypothèse d'un Ether fixe au sein duquel la Terre se
déplace, Poincaré a été amené à formuler le principe d'invariance de la vitesse de
la lumière par rapport à la Terre et le principe de relativité, repris par Einstein
dans son célèbre article de 1905.
Toutes ces déductions fondées sur l'hypothèse d'un Ether fixe au
sein duquel la Terre se déplace se trouvent invalidées par les
extraordinaires et irréfragables régularités que j'ai mises en évidence
dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926 et qui
démontrent l a totale validité de
ces observations (2).
TROIS QUESTIONS
FONDAMENTALES
Toute appréciation sur la signification et la portée des observations de Miller se ramène à trois questions
fondamentales :
Première Question :
Les observations de Miller résultent-elles, ou non, de simples perturbations comme la
température, ou présentent-elles une cohérence interne très réelle, indépendante de tout effet pervers ?
Deuxième Question :
Les observations de Miller permettent-elles, ou non, de déterminer les variations de
la vitesse de la lumière par rapport à la Terre suivant sa direction ?
Troisième Question :
Est-il possible, ou non, de déduire des observations de Miller la
position de la Terre sur son
orbite ?
UNE REPONSE AFFIRMATIVE AUX
TROIS QUESTIONS FONDAMENTALES
Les extraordinaires et irréfragables régularités décelées
dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926, tout à fait inexplicables dans le cadre de la Théorie
actuellement admise de la Relativité, se caractérisent par une très
remarquable cohérence interne.
En fait, l'analyse présentée dans mon article de La Jaune et
La Rouge d'octobre 2003 permet de répondre affirmativement
et en toute certitude aux trois questions fondamentales :
1 - Les observations de Miller ne peuvent être attribuées à des
causes fortuites, ou à des effets pervers, comme résultant de la température par
exemple. Elles correspondent à une remarquable cohérence interne.
2 -La vitesse de la
lumière par rapport à la Terre varie avec sa direction comme le démontrent les
hodographes calculés de la vitesse observée d'après la formulation de Michelson.
3 - Des observations
de Miller, il est possible de déduire la position de
la Terre sur son orbite. (3)
Ces conclusions sont indépendantes de toute
hypothèse et de toute analyse théorique que ce soit.
En fait, la presque totalité des résultats sur lesquels elles
s'appuient, et tout particulièrement les plus significatifs,
n'ont pas été aperçus par Miller.
Ainsi, au regard de l'analyse que j'ai présentée des observations
de Miller, et tout particulièrement des ajustements elliptiques des hodographes et de
leur configuration, il est certain qu'on ne peut pas
soutenir que les expériences interférométriques donnent un résultat "négatif
", que la vitesse de la lumière par rapport à la Terre est invariante quelle
que soit sa direction, et qu'aucune expérience purement terrestre ne peut
déterminer la position de la Terre sur son orbite.
Ce sont là des conclusions incontournables. Le démenti donné par l'expérience est catégorique et sans appel.
Deux circonstances
très remarquables
Deux circonstances très remarquables doivent encore être soulignées
:
Tout d'abord l'analyse des observations de Miller a mis en évidence une périodicité diurne sidérale pour les vitesses et les azimuts.
En second lieu un résultat tout à fait inattendu a été mis en
évidence :
la perpendicularité des hodographes aux directions
moyennes non nulles des azimuts.
Ce résultat est à la fois incompatible
avec la théorie classique puisque les hodographes ne sont pas symétriques par
rapport au méridien et avec la Théorie de la Relativité puisque
les hodographes correspondent à une différence moyenne de vitesses de la lumière entre
deux directions rectangulaires de l'ordre de 8 km/sec.
Cette différence de vitesse correspond à une différence relative de
8 / 300 000 = 2,67 10-5,
soit de l'ordre de 3. 10-5 de la vitesse de la lumière.
L'anisotropie de l'espace optique relativement
à la Terre mise en évidence par les observations de Miller apparaît tout à fait inexplicable dans le cadre des théories
actuellement admises.
L'apport de mes recherches
sur les observations interférométriques de Miller.
Bien que
d'une importance capitale, la validité des observations de Miller a été niée
ou négligée, ou même totalement méconnue, par la presque totalité des
commentateurs, en raison notamment de la domination absolue et obscurantiste qu'a exercée
depuis un siècle la Théorie de la Relativité dans le monde des physiciens. (4)
Au total, non seulement la publication de mon article de La Jaune et
la Rouge a été fondamentalement justifiée, mais l'avenir démontrera que par
ses implications la découverte des extraordinaires régularités sous-jacentes aux
observations de Miller correspond à une des plus importantes
découvertes de ces cent dernières années.
Le modèle utilisé
par Miller pour interpréter ses résultats
Le fait que les observations de Miller soient
entièrement correctes ne saurait impliquer que le modèle qu'il utilise dans son article
de 1933 le soit.
Dans l'analyse théorique de son article Miller ne considère en
effet que les écarts A* = A - À des azimuts par rapport à leurs valeurs
moyennes, et il suppose que ces écarts A* et les vitesses v mesurées par
l'interféromètre ne dépendent que de la vitesse de la Terre, somme de sa vitesse
orbitale et de sa vitesse cosmique.
En fait, dans l'analyse de Miller deux faits essentiels restent totalement inexpliqués.
Tout d'abord les moyennes À des azimuts journaliers, qui au regard des formulations astronomiques utilisées par Miller devraient être nulles, ne le sont pas, et elles varient considérablement
d'une période à l'autre.
De plus Miller a été amené à supposer que les vitesses cosmique et
orbitale de la Terre sont réduites dans une même proportion
par un coefficient k = 0,0514.
La théorie de
Miller laisse ainsi inexpliqués d'une part le coefficient k de réduction des vitesses, et d'autre part
et surtout les valeurs moyennes journalières
À non nulles des azimuts et leurs variations d'une période à l'autre de l'année.
Quelle que puisse
être la cohérence apparente des ajustements présentés par Miller dans son
article de 1933 son interprétation et ses estimations apparaissent comme fondamentalement
irrecevables. (5)
UNE INCROYABLE ERREUR D'INTERPRETATION
L'interprétation
donnée des résultats prétendus négatifs de l'expérience de Michelson
L'interprétation donnée du prétendu échec de l'expérience de
Michelson a abouti à la transformation de Lorentz, puis à la transformation de
Poincaré, formulation rigoureuse de la transformation de Lorentz, et au principe de
relativité de Poincaré.
Cette déduction repose sur un modèle, généralement
non explicité, qui se fonde sur une hypothèse fondamentale : la Terre se
déplace au sein d'un Ether immobile.
En réalité, dès lors que l'expérience de
Michelson conduisait à une vitesse de 8 km/sec, au lieu de la vitesse effective de la
Terre de 30 km/sec., deux interprétations s'imposaient :
- La première, la validité du Modèle étant considéré comme
admise, la vitesse de 8 km/sec,
ne pouvait résulter que d'un effet pervers et le principe de relativité de Poincaré
s'imposait.
- La seconde, le résultat expérimental de 8
km/sec, au lieu de 30 km/sec, étant admis,
c'était l'hypothèse du Modèle qui devait être rejetée, et la Terre ne pouvait être
considérée comme se déplaçant au sein d'un Ether immobile.
En fait, j'ai montré que les données de l'observation sont
tout à fait compatibles avec l'hypothèse d'un fluide, l'Ether, animé du même mouvement
que la Terre autour du Soleil. (6) Il
est dès lors certain que l'interférométre ne pouvait conduire à une vitesse de la
Terre de 30 km/sec, relativement à l'Ether. (7)
Une incroyable erreur
II est réellement incroyable qu'au début du XXème siècle toute la Communauté scientifique ait été amenée à
admettre avec Lorentz, Poincaré, et Einstein le principe de relativité suivant lequel il
est impossible de déceler le mouvement de la Terre sur son orbite par des expériences
purement terrestres, alors que ce que montrait effectivement l'expérience, c'était que
l'hypothèse fondamentale du Modèle, sur lequel s'appuyait cette déduction, était
erronée.
En fait, il était impossible de considérer que la Terre se
déplaçait au sein d'un Ether immobile alors qu'un calcul élémentaire montrait que tout se passait comme si l'Ether était animé du même
mouvement que la Terre autour du Soleil.
L'expérience de Michelson
et Gale de 1925
L'expérience du pendule de Foucault de 1852 a démontré que la Terre
tourne relativement à l'Ether. Mais si la Terre tourne par rapport à l'Ether
environnant, la formulation de Michelson doit s'appliquer.
C'est effectivement ce qu'a montré l'expérience interférométrique
de Michelson et Gale de 1925. La moyenne des observations a en effet correspondu
exactement, à 2,6 % près, à sa valeur théorique. (8)
Dans le cas de l'expérience de Michelson et Gale il est effectif que
la Terre tourne par rapport à l'Ether et le succès de cette
expérience montre la justesse des conceptions interférométriques de Michelson.
Le danger des idées
préconçues
En fait, toutes les discussions du XXème siècle sur
l'interprétation à donner aux expériences interférométriques de Michelson et de ses
successeurs ont été faussées par une idée préconçue
admise sans discussion : La Terre se meut au sein d'un Ether
immobile (9).
Que cette hypothèse ait été admise sans réserve par
des autorités confirmées comme Michelson, Lorentz, Poincaré, Eddington, et par des
anti-relativistes convaincus comme Painlevé et Carvallo (10)
est réellement stupéfiant.
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NOTES
NOTA : le retour à
l'article s'obtient en cliquant sur le numéro de la note.
(1) Ainsi et par exemple, avec un rare dogmatisme, A. Foch n'hésite pas
à écrire en 1967 dans le texte révisé de l'ouvrage de G. Bruhat, Mécanique
:
"Aucun déplacement (des
franges) n'a jamais pu être constaté ...
"Contrairement à ce qui résulte des conceptions classiques sur le
temps et l'espace, le mouvement de la Terre dans l'univers ne se ma-
nifeste dans aucune expérience terrestre ...
"Quel que soit le repère
galiléen utilisé, la vitesse de la lumière
dans le vide a toujours la même valeur dans toutes les directions ...
(Allais, 1997, L'Anisotropie
de l'Espace, p. 578).
(2) Sur tous ces points voir Allais, 1997, L'Anisotropie de
l'Espace, p. 550-576.
Voir tout spécialement mon article
d'octobre 2003 "Des Régularités Extraordinaires et Irrëfragables dans les
0bservations
Interférométriques de Dayton C. Miller, 1925-1926".
(3) Comme le montre le Graphique V de mon article de 2003 (p. 83).
Si on considère par exemple les
valeurs de v et À déduites
du calcul du Tableau 1 (p. 82), soit pour v en km/s : 7.72 , 8.86, 8.18 , et
7.26 , et pour la moyenne des A en degrés : - 7.43 , 41.47 , 12.81 ,
52.67 , et si on calcule la corrélation :

La représentation est parfaite.
Les sommets des deux sinusoïdes sont ainsi
le 21 mars et le 21 juin, correspondant à l'équinoxe de printemps et au solstice
d'été.
On peut ainsi déterminer exactement la
position de la Terre sur son orbite à partir des observations interférométriques de
Miller.
(4) La réaction en 1925 de la Communauté scientifique aux observations
de Dayton C. Miller a été pour le moins quelque peu étonnante
Comme le rappellent William Broad
et Nicholas Wade :
" Lorsqu'on 1925 l'American Physical Society entendit son président Dayton C. Miller déclarer qu 'il avait découvert une preuve
contredisant la théorie de la relativité restreinte (un
"effet positif" dans l'expérience de Michelson et
Morley), les auditeurs auraient dû instantanément abandonner cette théorie, ou du moins
lui assigner un statut provisoire.
"Mais, "Ce ne fut pas le cas", comme le souligne
Michaël Polanyi. "A cette époque ils avaient tellement
bien fermé leur esprit à toute suggestion qui aurait menacé
la nouvelle logique introduite par la représentation einsteinienne
du monde, qu'il leur était pratiquement impossible de repenser
en des termes différents". On n'accorda que peu d'attention à ces expériences, et on relégua cette preuve à l'écart, avec l'espoir qu'elle
se révélerait fausse un jour.
"En fait . . . pour des scientifiques le fait même de
supposer que des résultats embarrassants se révéleront incorrects (n'étaient) qu'un
simple acte de foi".
(William
Broad et Nicholas Wade, Betrayers of the Truth, 1982,
traduction française, Edition du Seuil, pp. 175-176). et Michaël Polanyi, Personal
Knowledge, 1958.
C'est
cette même constatation qui m'a amené à écrire en 1958 dans mon mémoire, "Doit-on
reconsidérer les lois de la gravitation ?" :
"II est pour le moins étonnant que les résultats de ce
mémoire de Miller aient été religieusement passés sous silence.
"L'enterrement pur et simple du mémoire de
Miller me paraît être un des scandales de la physique contemporaine".
(5) Voir Allais, 1997, L'Anisotropie de l'Espace, p.
417-418.
(6) Allais, 1997, L'Anisotropie de l'Espace, p. 423-424, note
8.
Le même calcul conduit à la conclusion que tout se passe comme si au
voisinage de chaque Planète l'Ether avait le même mouvement autour du Soleil que la
Planète considérée.
Il en est encore de même pour les Satellites des Planètes
relativement aux Planètes.
(7)
Naturellement il reste à expliquer pourquoi
l'interférométre conduit à une vitesse de 8 km/sec.
J'en ai donné une
explication très simple dans ma Note : Sur l'interprétation des expériences de
Michelson. Aucun vent d'Ether de 30km/sec mais un vent d'Ether de 8 km/sec, mardi 9
mars 2004,19 pages.
(8) Voir Allais, 1997, L'Anisotropie de l'Espace,
p. 553.
Voir également les
pages 545 et 587 (voir tout particulièrement les notes 1 et 2 de la page 587).
(9) Voir notamment les articles de 1881 de Michelson et
de 1887 de Michelson et Morley. (Allais, 1997, L'Anisotropie
de l'Espace, p. 703).
(10) Voir Allais, 1997, L'Anisotropie de l'Espace,
pages 200, 383, 554, 556, 584, 602, et 711 pour Painlevé, et 585, 615,
641 et 716 pour Carvallo.
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OUVRAGES ET ARTICLES
CITES
REFERENCES
(par ordre chronologique)
Albert A. MICHELSON |
|
1881 |
The
relative motion of earth and the luminiferous aether
The American Journal of Science : Third Series,
Vol. XXII, 1881, Art. XXI, pp. 120-129. |
Albert A. MICHELSON et Edward MORLEY |
|
1887 |
On
the relative motion of the earth and the luminiferous aether
The American Journal of Science : Third Series,
Vol. XXIV, 1887, Art. XXXVI, pp. 333-345. |
Albert A. MICHELSON et Henry G. GALE |
|
1925 |
The Effect of the Earth's Rotation on the Velocity of Light
The Astrophysical Journal, April 1925. |
Dayton C. MILLER |
|
1933 |
The
Ether-Drift Experiments and the Determination of the
Absolute Motion of the Earth
Reviews of Modem Physics, Vol. 5, July 1933, Number 3, pp. 203-242. |
Maurice
ALLAIS |
|
1958 |
Doit-on
reconsidérer les lois de la gravitation ?
Perspectives X (Ecole Polytechnique), pp. 90-104, avec une Note Complémentaire
de deux pages (encartées et non paginées). |
Michaël POLANYI |
|
1958 |
Personal
Knowledge
University of Chicago Press |
|
G. BRUHAT et A. FOCH |
|
1967 |
Mécanique
Masson |
|
William
BROAD et Nicholas WADE |
|
1982 |
Betrayers
of the Truth
Simon and Schuster, New York |
|
Maurice
ALLAIS |
|
1997 |
L
'Anisotropie de l'Espace
Editions Clément Juglar, 757 p.
|
|
2003 |
Des régularités extraordinaires et irréfragables dans les
observations interférométriques de Dayton C. Miller, 1925-1926.
L'effondrement radical et définitif de la Théorie de la Relativité
La Jaune et La Rouge, octobre 2003, pp. 79-88. |
|
2004 |
Sur l'interprétation des expériences de Michelson. Aucun vent
d'Ether de 30 km/sec, mais un vent d'Ether de 8 km/sec.
Avril 2004, 19 p. |
|